Omertà, mon livre

Ma mère est une narcissique, mon père est un sociopathe. Pour les fuir, j’ai dû affronter les coulisses de Radio France, les favelas brésiliennes et les flics corrompus de partout.

Omertà, la couverture du livre de Lucie Vandecandelaère

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Ma mère est une narcissique, mon père est un sociopathe. Pour fuir l’Omertà qui les protège, j’ai dû affronter les coulisses de Radio France, les favelas brésiliennes et les flics corrompus de partout.

Entre deux tentatives d’étranglements de mon cher daron, encouragé par les injures de ma merveilleuse daronne, sont venues se glisser des quantités étonnantes de violences physiques, mentales et sexuelles. Un mec rouennais m’a retenue prisonnière dans son appartement ; un SDF carioca m’a poursuivie avec un bout de carton ; une famille inconnue est devenue la mienne.

Le problème avec les traumatismes, c’est qu’ils ne disparaissent pas, même quand leurs auteurs sont loin de vous. La dépression, la drogue et la pauvreté vous enchaînent, alors que vous vous battez, encore et encore, pour votre survie. La loi du silence, l’Omertà, vous maintient prisonnière dans un système voué à vous détruire.
Ce temps-là est révolu.

Parce que je me suis tue pendant 27 ans, je suis morte, encore et encore.
Parce que je suis toujours en vie, aujourd’hui, j’ai décidé de mettre fin au silence.

Voici mon mémoire, mon autobiographie, mon œuvre de non-fiction… Voici ma vie.

La photo originale, prise à Londres, alors que je devais fuir un polonais qui portait un collier fait avec des os humains. Encore une histoire à retrouver dans Omertà !

Vous pouvez aussi retrouver Omertà sur d’autres plateformes, comme Kobo ou Apple, par ici : Lien LinkTree

Ou, si vous voulez m’aider à échapper à l’horreur absolue qu’est ma vie, j’ai une cagnotte disponible ici pour me sortir de la rue.


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